Masochisme donc. Je suis là. Devant mon écran en train de rédiger ce billet pour inaugurer cet espace “bloggositoforumien” que Nao m’a très amicalement mis à disposition. Et de façon tout à fait désintéressée qui plus est. Bien entendu. Pensez donc, ce n’est pas comme si la plate-forme était en développement et avait besoin d’être testée, n’est ce pas ?Bah, j'ai déjà d'autres testeurs tu sais... Et moi-même je teste énormément tout seul... En fait j'ai surtout besoin de voir d'autres bloggueurs "dans le contexte", obtenir des retours sur ce qu'il faudrait ajouter, ce qui paraît naturel à un bloggueur sans l'être pour un forumeur, etc...
Oui, masochisme parce que non contente de modérer deux forums, d’être en retard de quine jours au minimum dans mes réponses aux mails et divers messages privés, de rédiger le prochain chapitre d’une fanfiction ayant atteint à ce jour la taille respectable de 450 000 mots et toujours pas terminée,Ca va s'appeler comment ? Le Noir et le Rouge ?
d’alimenter le blog dédié au susdit pavé, d’apporter ma modeste contribution au fandom par le biais des relectures et corrections dispensées à qui me le demande, d’avoir ouvert (inconsciente !) un Livejournal la semaine dernière… j’ai accepté de participer à cette aventure-là. Aussi.Tu peux aussi arrêter au bout de 2 billets, comme l'on fait certains beta-testeurs :p Je veux dire, tu n'as aucune obligation... :^^;:
Et comme je n’ai pas envie qu’on me supprime trop vite ma roue, le cobaye que je suis a donc décidé de se lancer dans la rédaction de son premier article en prenant pour sujet un propos hautement original dont je détiens de fait l’exclusivité, à savoir le dernier livre que j’ai lu.J'ai centré l'image, pour que tu voies comment on fait ;)
Pour le plaisir de retrouver cet amour de la langue française.Toi aussi, tu lui rends un bel hommage, à la langue :)
Wahh, une fonte Verdana dans les blogs, ça fait bizarre...Ben figure toi qu'au début, j'avais mis Georgia... et j'ai été choquée par le résultat. Alors, bon, peut être qu'aussi j'aurais pu réduire la taille de la font :^^;:
Je pensais que tout le monde aimait Georgia, moi
Tu veux que je donne la possibilité de choisir sa fonte une fois pour toutes ?
Bah, j'ai déjà d'autres testeurs tu sais... Et moi-même je teste énormément tout seul... En fait j'ai surtout besoin de voir d'autres bloggueurs "dans le contexte", obtenir des retours sur ce qu'il faudrait ajouter, ce qui paraît naturel à un bloggueur sans l'être pour un forumeur, etc...Non mais en fait, ça m'intéresse beaucoup de participer! Justement, étant à la fois habituée des fora et des blogs, on peut avoir des échanges très constructifs.
J'ai centré l'image, pour que tu voies comment on faitOki, bien noté.
Il y a aussi align=left ou align=right si tu veux placer une image à côté du texte.
Toi aussi, tu lui rends un bel hommage, à la langueMerci c'est gentil. On fait c'qu'on peut après une semaine de taf :^^;:
Ca va s'appeler comment ? Le Noir et le Rouge ?Nan mais rigole pas hein... Le bouquin de Stendhal m'a vraiment traumatisée :ph34r:
Par ailleurs, je suis habituée au Verdana que j'utilise sur Blogger ;)Okette c'est noté.... Le souci c'est juste que j'ai peur que les gens choisissent n'importe quoi comme fonte......... :^^;: Au mieux, je donnerai le choix entre les grands classiques, quoi.
Donc, oui, si tu peux mettre un système avec une utilisation par défaut, je suis preneuse^^
Nan mais rigole pas hein... Le bouquin de Stendhal m'a vraiment traumatisée :ph34r:Moi c'est La huitième couleur (le premier livre du Disque-Monde) qui me fait souffrir... Ca fait des mois que je lis quelques pages tous les X jours, sans jamais réussir à finir le bouquin... J'en suis à la page 227 sur 260 environ... A chaque fois c'est mortellement ennuyeux. Du mal à croire que ça soit du même auteur que les suivants... :^^;:
Bon, c'est décidé ? Tu gardes ton blog sur LJ et tu laisses tomber celui-ci ? :pTu disais? :gnéhé:
Oh tu sais, c'était pas une critique hein... C'était juste pour savoir si tu voulais effacer cette version-ci. :^^;:Ben à moins que ça ne te prenne beaucoup de place, si c'est possible de le garder, j'aimerais bien^^
No problemo...LJ, en fait, il y a une palanquée de trucs communautaires qu'on peut faire, mais à vrai dire, je trouve que c'est assez brouillon comme présentation de ce qui est disponible (en anglais qui plus est), j'ai du mal à y retrouver mes petits (et encore, je ne me plains pas, j'ai pris mon compte à temps, maintenant, on n'a plus le choix, les comptes gratos, c'est AVEC la pub^^)
Et ne te sens pas obligée de le mettre à jour, non plus.
C'est juste que comme à la base c'est un blog de test comparatif entre LJ et Cyna, si tu choisis LJ c'est pas la peine de le laisser en activité quoi ;)
LJ, en fait, il y a une palanquée de trucs communautaires qu'on peut faire, mais à vrai dire, je trouve que c'est assez brouillon comme présentation de ce qui est disponible (en anglais qui plus est),Je pense qu'ils ont beaucoup plus de fonctionnalités que cyna.fr... Mais que c'est lent, compliqué, et qu'il y a moyen de faire différent.
j'ai du mal à y retrouver mes petits (et encore, je ne me plains pas, j'ai pris mon compte à temps, maintenant, on n'a plus le choix, les comptes gratos, c'est AVEC la pub^^)Tu peux me donner l'URL d'un compte avec de la pub ?
Gretchen Lowell est une beauté fatale. Au sens littéral. L'inspecteur Archie Sheridan a traqué pendant dix ans cette redoutable tueuse qui a fait plus de 200 victimes. Il connaît bien ses méthodes, gravées en lui pour toujours - sa poitrine porte la cicatrice en forme de coeur que Gretchen a dessinée avant de lui administrer une injection mortelle.Mes prévisions se sont avérées exactes quant au rôle de Gretchen dans cette enquête. La vilaine fifille à son maso d'Archie >) ... ce n'est pas tant l'identité du tueur qui est pertinente dans ce livre mais la manière dont les fils se dénouent autour des persos pour voir qu'on peut se la jouer sain d'esprit... sans l'être pour autant.
Personne ne sait pourquoi elle l'a ranimé. Ni pourquoi elle a appelé les secours, et les a attendus calmement, provoquant ainsi sa propre arrestation.
Deux ans plus tard, Gretchen est en prison mais Archie n'est pas libre pour autant. Seules ses pilules lui permettent de tenir, rien ne sera plus jamais comme avant. Et la relation malsaine qu'il entretient avec son ancienne tortionnaire le trouble bien plus qu'il ne veut se l'avouer...
Quand un nouveau serial killer survient, l'inspecteur est rappelé sur le devant de la scène. Mais cette fois pas de tête-à-tête entre Archie et le tueur, car une jeune journaliste passionnée est de la partie - tout comme Gretchen, qui, tapie dans l'ombre de sa cellule, est plus dangereuse que jamais...
1830. Landor est un vétéran de la police de New York, désormais à la retraite. Personnage complexe, usé par les années de service et des tragédies personnelles, il répond à l'appel des autorités de l'académie voisine de West Point lorsque la dépouille d'un élève officier, retrouvé pendu, est atrocement profanée. Landor accepte de mener l'enquête et prend pour assistant un élève de West Point sombre et tourmenté nommé Edgar Poe. C'est le début d'un terrible voyage au coeur des ténèbres pour les deux hommes qui, lancés sur la piste d'un tueur aussi terrifiant que machiavélique, devront affronter leurs propres démons, alors que l'académie entière est prête à basculer dans la folie.On y entre comme dans du beurre. On sourit aux fines répliques que s'échangent les protagonistes. on hume les odeurs, on entend les bruits. Cette facilité à se projeter dans l'univers décrit m'évoque furieusement :(http://www.images-chapitre.com/ima2/big1/666/200666.jpg)A lire !
Trois secrets. Deux femmes. Un Graal. Juillet 1209 : Dans la cité de Carcassonne, Alaïs, dix-sept ans, reçoit de son père un manuscrit qui, prétend-il, recèle le secret du Graal. Bien qu'elle n'en comprenne ni les symboles ni les mots, elle sait que son destin est d'en assurer la protection. Elle doit, au prix d'une foi inébranlable et de grands sacrifices, préserver le secret du labyrinthe, secret issu des sables de l'ancienne Egypte voilà plusieurs milliers d'années. Juillet 2005 : Lors de fouilles archéologiques aux environs de Carcassonne, Alice Tanner trébuche sur deux squelettes. Dans la grotte où gisent ces ossements, elle découvre, gravé dans la roche, un langage ancien, qu'il lui semble possible de déchiffrer. Elle finit par comprendre, mais trop tard, qu'elle vient de déclencher une succession d'événements terrifiants. Son destin est désormais lié à celui que connurent les Cathares, huit siècles auparavant.Mais quel dommage ! Tant de descriptions franchement inutiles qu'on en perd le fil de l'histoire ! J'aime bien les thrillers historiques mais celui-ci perd son temps à nous coller une ambiances avec 100 pages de trop ! Quel gâchis ! Je reprendrais la lecture une autre fois, les chapitres entiers sur une fille qui part se promener vers une clairière ou sur son cheval, faut pas pousser !
Je m'appelle Jaz Parks. Mon patron, Vayl, est né en 1744 en Roumanie, où il est... mort. Entre les mains de son épouse, qui plus est. Une vampire. Mais c'est de l'histoire ancienne.Amusant. Les répliques sont fines, ironiques, vulgaires et/ou percutantes. Très simple à lire. Pour l'instant, rien de révolutionnaire ni de palpitant mais on sent que l'affaire est grosse... Quelques passages un peu lourdingues font néanmoins que cet ouvrage s'est doté d'un inconvénient de taille inversement proportionnel à celle de la trame narrative : son épaisseur. 400 pages. Alors que la moitié me semble suffisante... pour le moment...
Pour l'heure, Vayl travaille à la CIA, où il exerce son plus grand talent... celui d'assassin. Moi ? Je l'aide. Évitez de me traiter d'assistante, ou je vous en colle une.
Vayl et moi devons éliminer un chirurgien esthétique de Miami lié au terrorisme. Mais notre mission se complique lorsqu'on découvre qu'il est de mèche avec un salopard aux pouvoirs surnaturels capables de mettre l'Amérique à genoux...
J'ai bein aimé L'Evangile selon Satan, surtout le début.La scène de l'autopsie est grandiose !
Par contre, vers la fin j'ai été un peu déçu (peut-être le dernier tiers).Normal, c'est un jeu de dominos pour remonter au coupable n°1. Mais ça ne s'essouffle pas.
Pig Island, je ne peux pas trop en parler car je dois être à peine à la page 50 mais ça s'annonce pas mal.Ah oui, attend de voir ses pérégrinations sur l'île et son choc et tu vas manger !
Voilà, j'ai terminé Pig Island, j'ai bien aimé. Certains passages sont plutôt flippants et tout se lit très vite.CiterPig Island, je ne peux pas trop en parler car je dois être à peine à la page 50 mais ça s'annonce pas mal.Ah oui, attend de voir ses pérégrinations sur l'île et son choc et tu vas manger !
Que sont devenus les enfants nés dans les haras humains créés par les nazis ?500 pages haletantes. Je ne connaissais pas bien le système de fonctionnement des Lebensborn. Les deux intrigues qui se déroulent à 20 ans d'écart se rejoignent parfaitement bien. Le seul hic survient dans les premières pages avec le téléescopage de l'intrigue entre les mains de la protagoniste. La fin donne les dernières réponses mais on aurait aimé un épilogue car tout reste trop ouvert...(http://www.livre-po-cher.com/catalog/images/policier/720.jpg)
1995, en Allemagne. Le même jour, quatre hommes sont découverts, une ampoule de cyanure brisée dans la bouche, nus, la main droite coupée. Une seule certitude : les quatre hommes sont tous nés dans un Lebensborn, l’organisation la plus secrète des nazis, des haras humains où les SS faisaient naître de petits aryens pour réaliser leur rêve dément d’une race pure. Les autorités allemandes étouffent l’affaire.
Paris, 2005. Anaïs, jeune journaliste, est contactée par un étrange personnage, Vidkun Venner, un riche collectionneur norvégien. Vidkun a reçu une mallette, anonyme, contenant quatre mains momifiées. Quatre mains droites. Il veut qu’Anaïs l’aide à découvrir d’où elles viennent, et pourquoi on lui a envoyé ce macabre colis.
Très vite, la tension monte autour d’Anaïs. A mesure qu’elle avance dans son enquête, des signes inquiétants surgissent, des dossiers d’archives sont volés, des témoins refusent de parler, d’autres… disparaissent. Anaïs en vient à douter : tout s’est-il vraiment arrêté à la fin de la guerre ?
Un terrifiant parcours initiatique dont ni Anaïs ni Vidkun ne sortiront indemnes.
Les " Veilleurs de l'Apocalypse " sont partout ; dans les banques internationales et les chancelleries, les états-majors et les gouvernements. Pour eux, celui qui détenait la vérité absolue, Hitler ou son fantôme, est toujours vivant, et l'ombre du IIIe Reich doit s'étendre à nouveau sur l'Occident. Ils ont installé leur quartier général dans une forteresse, au coeur d'une vallée autrichienne inconnue des cartes routières. Ils y entraînent leurs troupes et préparent l'avènement de l'ordre nazi. Comment Henry Latham, brillant espion américain, a-t-il pu infiltrer la citadelle, se laisser démasquer et s'en évader en toute quiétude ? Que s'est-il passé ? Drew, le propre frère d'Henry, veut découvrir la vérité. Il se débat bientôt au centre d'une toile d'araignée mortelle.Ma lecture en cours. T-r-é-p-i-d-a-n-t. Tout le roman se contruit autour des dialogues. Les rebondissements s'enchaînent. Pas le temps de se reposer et réfléchir aux dernières données, en voilà de nouvelles qui flanquent les autres en l'air De l'action pure, des complots à tiroirs et un boulet (Jean-Pierre, arrête de t'la péter !).
Clarissa Gray, célèbre auteur de romans policiers, s’est retirée du monde pour vivre sur une île aux confins de l’Ecosse. Une nuit de juin, sa vie bascule : un homme, la gorge tranchée, meurt dans son salon en lui laissant un carnet codé qu’elle va déchiffrer avec l’aide de l’un de ses amis, Maclean. Car Clarissa Gray veut savoir. Elle doit savoir. Jour après jour, la romancière réunit les pièces du puzzle pour se retrouver devant une évidence que tout son être aura refusé jusque-là d’envisager. Comment un esprit cartésien pourrait accepter que l’auteur du carnet codé ne soit autre que l’archange Gabriel ? Comment croire qu’un tueur en série sévit au paradis et qu’il a pris les anges pour cibles ? Et pour couronner le tout, comment imaginer que les coupables, comme le soupçonne avec horreur Gabriel, puissent être Jésus, Mahomet ou Moïse ? Mrs Gray décide alors de mener son enquête.Amusant. Hormis les raisons absurdes qui ont poussé Gabriel à se tourner vers Clarissa, ça se lit très vite, très facilement et le final possède un 10° degré hallucinant.
Dans ce roman au suspense hallucinant, Gilbert Sinoué poursuit ses réflexions sur le thème des trois religions et renoue ici avec l’alchimie qui fit le succès du Livre de saphir. Un livre totalement iconoclaste et plein d’humour. Un regard sur ce qui divise notre planète : le paradoxe religieux
D'où vient la terrible marée rouge surgie dans le delta du Niger, et grosse de menaces pour l'écologie mondiale ? Quel rapport entre cette catastrophe et la disparition en 1930, en plein Sahara, de l'aviatrice Kitty Manock ? Ou celle d'un bateau américain, évanoui dans la brume soixante-dix ans plus tôt ?(http://ecx.images-amazon.com/images/I/51GxHLLfpJL._SS500_.jpg)
Parti à la recherche de la barque funéraire d'un pharaon, le chasseur de trésors Dirk Pitt, bien connu des innombrables lecteurs de Panique à la Maison-Blanche et de Cyclope, va être entraîné, en compagnie de la douce Eva, dans la plus étrange et la plus dangereuse de ses aventures.
Un thriller écologique où mystère, humour et suspense composent le plus excitant des cocktails
Ancien pilote de guerre en Irak, Roy Kruger a un grand défaut : il s'ennuie vite. C'est à Buenos Aires, en Argentine, qu'il décide de s'installer et d'ouvrir un restaurant de fruits de mer. Une façon comme une autre de continuer à exercer sa passion du pilotage, puisqu'il va lui-même se fournir dans l'Atlantique, de l'autre côté de la Cordillère... Un jour, Roy accepte d'emmener un aventurier dans son hydravion. Sans le savoir, il vient de tomber dans un piège redoutable, car ce Juan Piedra, une tête brûlée plus connue sous le surnom d'" El Lobo ", est un pilleur de tombes d'un genre particulier. Ancien tortionnaire sous la dictature argentine, il se propose de profaner le mausolée d'Eva Peron, qui recèlerait rien moins qu'un fabuleux trésor nazi... El Lobo n'ignore qu'une chose: son pilote est certes un as de l'aviation, mais aussi un ex-agent des services spéciaux américains, bien décidé à ne pas le laisser faire... Dans une Argentine en proie à la crise économique, où rôdent les fantômes du nazisme et de la dictature militaire, un duel sans merci se prépare...Allez savoir pourquoi, mais les thrillers ésotériques (templiers et graal at first) m'ennuient un peu... besoin d'autre chose... tiens, les nazis, c'est parfait, y a matière à plonger dans les affres du mal absolu !
et les gentils qui sauvent l'honneur, le monde et la fille à la fin :)Ouais, Dirk est un peu le fils spirituel de Bob Morane !
* 1999 : Atlantide (Atlantis Found) : Vraiment bof bof. Des nazis, des cités perdues... Un gros bide à mon humble avis. Et puis essayer de caser ses personnages c'est moyen...Sans doute parce que d'autres auteurs l'ont fait avant lui... et puis, il y a l'art et la manière de concevoir un cocktail "Absolute Evil Myth"...